Le développement durable passe aussi par le jardin amateur : c’est simple à mettre en place et rapidement efficace.
Il suffit de :
– Choisir et d’associer des plantes qui conviennent au climat de sa région, à la nature du sol, à l’exposition et de privilégier celles qui ont une propension naturelle à résister aux maladies.
– Tolérer, les, soit disant, ‘mauvaises herbes’ et accepter les fleurs naturelles pour favoriser la biodiversité : si elles deviennent trop envahissantes, pratiquer alors le désherbage manuel.
– Lors de la mise en place des plantes, ne pas les installer trop près les unes des autres.
– Nourrir avec du compost, du fumier, des engrais organo-minéral, du sang desséché, de la corne broyée…
– Disposer un paillage pour limiter voire supprimer les désherbages, réduire les arrosages, ralentir l’évaporation, favoriser la vie des micro-organismes…
– Favoriser le maintien des prédateurs naturels en installant des maisons d’accueil pour les coccinelles et les chrysopes.
– Mettre en place des pièges pour lutter contre les carpocapses des prunes, pommes, poires…
– Ramasser les larves et adultes des doryphores.
– Utiliser des traitements naturels en cas de fortes attaques d’insectes nuisibles ou de maladies.
– Supprimer les plants malades,
– Couper les branches et rameaux morts et les détruire.
Vous avez des questions ou des doutes ? Rendez-vous dans votre jardinerie la plus proche ou un conseiller saura répondre à vos questions.
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